Alain Aurenche et Jean-Luc Debaticce
Alain Aurenche
Cheveux au vent de la liberté, Alain Aurenche chante son amour des mots depuis des décennies. Cette graine d'ananar digne d'un Léo Ferré dont il fut l'ami, le fidèle, l'enfant musical, ne mâche pas ses mots et ne fait aucun compromis, quitte à le payer cher par son absence (toute relative) des médias. Pour cet homme de coeur et d'amitié, la chanson est un porte drapeau, et le sien tout de noir vêtu, est aussi celui de l'amour, de la fraternité et de la musique. Tour à tour émouvant, drôle ou rageur, Alain est une source d'émotion rare. Léo Ferré disait de lui: " Aurenche est un orage de sympathie qui vous arrache ce qui vous reste de sensible. "
Alain Aurenche chante Les copains de comptoir
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Jean-Luc Debaticce
En tant que comédien, il a joué en Belgique, en France, en Suisse, sous la direction de metteurs en scène tels que: Benno Besson, Claude Confortès, André Steiger, Derek Goldby, Marc Liebens, Philippe Van Kessel, Patrick Schmitt...
Il a joué également ses propres textes de one-man show et de théâtre: " Comme un vieux moteur dans un arbre à viande, Zouaves d'aujourd'hui, I am an erotic man"...
Auteur-compositeur-interprète de plus de trois-cent chansons. De nombreux récitals, en solo, avec un musicien, ou en formation rock et également deux C.D. de ses compositions: Barbaroque et Panoplie d'homme.
Créateur de spectacles: Les fils de Merlin et d'Ossian, Les indomptés, Toutes griffes dehors, Amer indien, Florilège de fous, Hugo en colère.
Récemment, deux mises en scène : Les cabinets de curiosités, comédie dramatique musicale poétique et baroque, pour l'ensemble Faenza et La Révolte de Villiers de L'Isle Adam avec Vieux Ménages d'Octave Mirbeau pour la compagnie La Strada avec laquelle il tourne Les biscuits roses sur des textes de Franz Bartelt, créés en Avignon. Enfin joue dans Dommage qu'elle soit une putain, de John Ford, mise en scène de Patrick Schmitt au théâtre de la Forge à Nanterre.
Jean-Luc Debaticce chante Docteur Faust
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