Merci de m'avoir invité à "Étoiles du Cœur".
Je pense que c'est Shérazade, qui a parfois commenté sur mon blog freesoulblog.net, qui m'a invité.
Je ne suis pas particulièrement préoccupé par les problèmes dont semble traiter ce très sympathique site que j'ai rapidement visité,
parce que je crois que l'homme survit à la mort, dans des conditions plus ou moins heureuses selon le niveau spirituel qu'il aura eu avant de mourir à sa chair, et j'ai aussi des preuves de cette survie, quoique frustes, car je ne crois pas qu'on sache grand chose sur l'au-delà (notre langage manque culturellement de balises pour s'exprimer sur ce sujet tout à fait ailleurs et déformé par la "légende dorée" ou moins dorée, sinon noire).
Cependant, dans ma jeunesse, particulièrement après la mort de mon père en 1942 pendant l'occupation allemande, ma mère alors jeune (36 ans) se trouva seule, désemparée et plus ou moins attirée vers le spiritisme. Je fus alors, n'ayant que 13 ans, embarqué dans cette aventure.
À la fin de mon adolescence, j'avais abandonné la pratique des tables tournantes et autres oui-ja, à laquelle ma mère était restée attachée, pour rechercher les aspects plus profonds des questions de la survie abordées par le milieu spirite et je fus ainsi amené à connaître l'Institut Métapsychique International, avenue Niel à Paris, et à y connaître des hommes remarquables comme Pascal Fortuny, alors un vieillard déjà. Pascal Fortuny donnait aussi des conférences hors de l'Institut, notamment chez un ami à lui, le sculpteur Martial, auteur du Clémenceau de bronze des Champs Élysées.
Ma question est simple: Cet Institut Métapsychique International existe-t-il toujours? Si oui, que s'y passe-t-il aujourd'hui?
J'avoue que ma question ressort plus de la curiosité que de l'intérêt réel.
Comme j'ai trouvé quelques références à Allan Kardec — que ma mère m'avait fait lire quand j'avais 16 ou 17 ans — dont je ne suis pas disciple, mais que je considère comme un chercheur courageux dans un domaine si souvent décrié dans un monde "rationalisé" au point qu'on se demande si la mort y existe et s'il n'y a vraiment pas à s'en soucier, j'ai pensé qu'il y aurait parmi vous des personnes susceptibles de m'informer.
Si ce n'est pas le cas, tant pis, je reste heureux de vous connaître et je vous adresse mon salut fraternel