LEAG a écrit:Un des nombreux paradoxes français oblige donc à appréhender l’idée que sur notre territoire, des individus qui réclament de mourir à force de désespoir et de douleurs, dans la dignité et le respect, se le voient refuser, alors que, en dehors de notre territoire, nous enlevons la vie à des gens qui ne le désirent pas, et qui en outre, ne nous ont rien fait !
Cherchez l’erreur !
( Désolé , le post n'apparaissait pas tout à l'heure . Ça cafouille , des fois , aux changements de page)
Joli résumé ! Ceci dit cela ne me semble pas antinomique : Dans les deux cas des personnes , munis d'un pouvoir et garants d'impunité , s'en servent pour s'arroger un droit de vie ou de mort sur les autres ; Éventuellement de cruauté voire de sadisme . Dans le cas de l'armée la force du groupe est utilisée pour s'imposer localement , en jetant aux chiens de guerre de la viande à dépecer , dans celui de la médecine elle est détournée (Mot clé , fort justement repris avec insistance par
Philippe Costes) à des fins de satisfaction personnelles ; De confort , en fait (Sic) .
Et que celui (Celle) qui n'a pas de pouvoir ...