Bonjour à toutes et tous,
Bonjour à vous Patrick
(j'aime votre exposition du tissu de la terre, sa réflexion dans l'air),
Bonjour Franck,
Bonjour à vous lecteurs & chère lectrice
(je vous répondrai ici : ne l'oublions pas SVP, c'est le jeu du forum !...),
Je crois qu'il faut infiniment plus que mettre en avant le genou gauche et prohiber les fèves (conjurant les êtres inorganiques que vous ne manquerez pas de rencontrer en cet en-deçà du manifesté) :
la pensée de Pythagore est bien plus vaste (dépassant le simple cadre du mathématikoï), vous le découvrirez (1). Contrairement à la vulgate, Hypase avait toute sa place dans ce paradigme.
(1) Cependant je suis d'accord, l'Opus musical est fondé sur la double symbolisme des nombres (qualitative & quantitative), des numérations métaphysiques (comme celles d'artistes kabbalistes chrétiens vues dans mon approche de peinture hermétique sur Facebook), pour le reste reportez-vous à la finalité de cette section en ce Forum :
viewtopic.php?f=4&t=1100&start=30La vision de la série animée « Alexander » de Peter Chung (REIGN en anglais) alors dissoudra tous les doutes sur cette voie (Rin Taro's Connexion oblige, on reste en famille donc).
C'est vrai, l'art pour moi est beaucoup plus qu'un exercice spirituel, il est Action.
Contrairement aux spéculatifs, mon travail ne se termine jamais avant l'Aube, dans cet épuisement du Pélican de la nuit de mai, ayant échos chez Platon (lois 667-669), propre à la poesis même et faisant jour la réalité énergétique potentielle (alêthê, alêtheïa, alê théïa) organisant les plans du réel (l'Ether porte en Soi tous les éléments). C'est un jeu lîlâ d'émergence, déploiement et réintégration.Ici, l'âme humide redescend dans le Fleuve, l'âme sèche remonte vers le Feu, en accord avec l'Âkasha, séjour du Son originel (série animée RaXephon). C'est technique, le 2e Volet de « Hadès » de Masami Kurumada (comme l'a signalé très justement Franck ; merci à toi) en fait l'exposition :
Les Éveillés marchent sur les flots (panoptès), transcendant leur courant (quitte à être absorbé par leur archétype), remontant à la Source, traverser enfin le fleuve (...) et vaincre dans le « royaume des morts ».
Puis il s'agit alors de poser sa divinité Face à Face avec la divinité, dans ce Feu où l'âme sèche a brûlée toute impureté et vivifié l'Essence même, en l'Empyrée, cette voie droite de l'Y Pythagoricien, la voie des dieux (devâyana)...
Dans le volet suivant ("Tenkai-hen Josō ", Ouverture au Monde Céleste) Saint Seya se confond avec le Pélican, « rédempteur dans sa capacité de mort elle-même alimentée par l'immortalité », cette part intime du Phénix (Romé-Roma/Amor, Force/Amour). http://www.youtube.com/watch?v=vSwGclWl ... re=relatedIci l'Aïglê grec (lumière éclatante) fixant le Soleil, n'est plus un corps de liaison entre les niveaux ontologiques - à l'exemple du Logos de l'Oiseau Rokh, « al-Rûh » l'Esprit transcendant - où le Corps Subtil nourrit du Feu central ne sera plus « détruit » mais intégré au soleil lui-même... 7e, 8e, 9e... sens comme tu le soulignais Franck.http://www.youtube.com/watch?v=HuK1tpaf ... re=relatedMais finalement « Que sont les dieux ? » entre Phylakes et (arché)typos autonomes et attracteurs... avant cet affrontement final, confrontation avec Artémis, dont
Virgile signale dans ses Géorgiques disait que la Lune a rangé les jours aux différents travaux.Mais qu'il est loin ce temps de l'opérateur pour Saint Seya, lui arrivé à l'Ultime Limite......
Quittons le Réel, et revenons aux réalités où en inter-monde se poste toujours des résurgences de Sophia, celles ouvertes par les
supports anagogiques.
Abolis bibelots d'inanités sonores : univers des coquilles typographiques révélant la Mérelle (cet esprit du chapitre),
des césures éclairantes, des mots hélisés ou rabotés, des folios intelligents, de la guématrie et des cabales phonétiques (plusieurs écoles),
des majuscules oubliées (telles A(rcanum) H(ermeticæ) P(hilisophæ) O(pus) posées dans l'un de mes posts précédents, bien vu Marie !)
de la transcendance de la page – j'avais consacré 3 cours à cette construction de la mise en page - (en trouver notamment le « point riche » dans sa géométrie sacrée et de là, et ce n'est qu'un exemple, en obtenir sa « clé vigenère »),
interpolations et échanges avec d'autres ouvrages et auteurs, notes de bas de pages renvoyant à d'autres textes ou à des œuvres picturales encodées, etcÀ ce propos, je possédais à l'époque l'ouvrage, très richement illustré par des Anciens, de
M. Witkowski (originaire de Witko, du latin « Vitus » dérivé en « Vito », la Vie ; l'Amoureux reconnaîtra quelques valeurs au Blason de la ville... j'avais reproduit son azur, son fer à cheval en vase et son épée tranchante s'y insérant pour mon MC) et avait remarqué le renvoi (éd. 1908 – p. 35 ; un 8 faste en somme à 1ère vue, un indice ou un deux, etc), je crois me souvenir, (mais je me trompe sans doute, car le cœur de mon métier est d'encoder les images pas de traduire les textes cryptés) à Dujols. Étrange... peut-être le fond (Procession du Renard ou de la Fête de l'Âne) ?
Excusez-moi d'apporter de la confusion, j'ai consulté par internet le dit recueil et suis incapable de retrouver la clé de ce raisonnement iconoclaste (basé sur les images donc)... En fait, je ne puis me reporter à mon exemplaire du « Mystère des Cathédrales » (et ne peux produire tous les prolongements qui c'étaient fait jour), il y a plus d'une quinzaine d'années une Belle parèdre rousse au beau matin ayant emporté en son pays mon cœur et mes Fulcanelli annotés (ne souriez pas c'est vrai !).
En tout cas je regrette vivement ces ouvrages, en particulier le 1er Tome des DM.
La Divine providence en avait fait, par le jeu des préfaces ajoutées, de la page 111 une belle étendue blanche dont j'avais fait un Pôle tout justement. Un déplacement du Centre providenciel (je laisse cette coquille).En effet, 111 est symboliquement un véritable centre :
Dante Alighieri, dès le milieu du vers 101 du chant I, annonce l'Homo Maximus, ce NEO (one, mais aussi 34), ce Veltro
(lévrier, autrement dit un chien de chasse tenace et hardi, ce « Khan » - canis - comparé à un rédempteur charismatique à la secrète puissance par Guénon & Evola), triomphant de la bête vers 111
(autre blason de Witkowski en Germanie : lévrier & Axe du monde).
Le charismatique roi Arthurus (nom attaché aux deux ours étoilées ; au jardin germanique, ce « arth », carré clos cérémoniel 8x8 des celtes, reproduction maîtrisée de la cosmogonie) en chef (DUX, par anagramme DXV, 515 en chiffre romain...) reposera en « l'île » d'AVALON (venant du latin « Abalus », 56 position centrale de 111) jusqu'à son réveil en ce Centre polaire (UNvisible) tout comme Merlinus (encore une fois par la guématrie 111).
Et puisque j'évoque les rois, placer ici la « Ligne Rouge » située sur la Basilique Saint Denis où gisent les mérovingiens (la valeur du « Lys », Reine du mystère, est de 56) que Guénon rapprochent du grec « mêros » et du sanscrit « méru », deux termes évoquant le Centre Polaire, fin et commencement.
Ainsi la 1ère lettre en hébreux « alef », « halif » en arabe,de même que le mot « quth » signifiant le « Pôle » et le Tétramorphe chrétien se retrouvent dans le 111...
DM I, p. 111 portant en folio l'infini « 8 »... « Providence » disais-je, d'ailleurs la guématrie de ce terme est tout justement de 111.Amicalement
Inari_Sama