Emission Richard Khaitzine Franck Ferrandis

FUGE EN RÉ OU LA PAROLE PERDUE

Messagepar Inari_San » Ven 08 Avr 2011 11:14

Bonjour à tous & à toutes,
Bonjour Anaël,


LA PAROLE PERDUE

Je me devais de revenir ici fort de la redécouverte d’emblèmes et représentions scannées le lendemain de ton post musical (heureusement moins de 515 jours).

Je dois avouer ici que j’ai totalement oublié la manière dont je voulais présenter cette suite de documents ayant attrait à cette Arpenteur des deux mondes, sinon Philosophe hermétique qu’était la figure de Robert Fludd célèbre auteur du «Temple de la Musique», du «Grand Monocorde» ou du Diapason de la totalité.

Il me semblait qu’à l’époque avoir trouvé une vive intelligence d’évoquer la Musique comme l’une des clavis hermetica (clé de compréhension) des icônes dans la perspective et la sensibilité des suites pythagoriciennes harmoniques (gammes musicales et définition des notes en résonance avec une Cosmogonie et des symboles numineux).

Ici, en dehors d’une arithmosophie, un cas d’école connu me vient à l’esprit : La Vierge alchimique de Reims où la valeur vibratoire des clés rappèle que les tableaux classiques doivent se comprendre aussi par une lecture donnant sur la perspective de la symbolique musicale pythagoricienne !...

Cette sensibilité est en écho avec des représentations de la physique moderne présentant microcosme et macrocosme sous forme de fonctions d’ondes, de fluctuations harmoniques du champ électro-magnétique. Dans cette perspective, l’art et la philosophie se veulent toujours représentations plus ou moins subtiles du monde & de cet ode en dehors de l’incarnation de l’énergie qu’est l’au-delà de la matière.

C’est ici que je devrais tenter une exposition de ces métaphores de la nature profonde de l’énergie-information dans les courants classiques de la pensée néo-pythagoricienne ou néo-platonicienne. Cette évocation ne devrait pas oublier de mentionner une correspondance avec les images archétypales des planètes (musique des sphères) dans la pratique de l’Alchimie. L’Atalante Fugiens est ici un exemple de choix par son alliance du fait musical et de reliance.

Je ne peux hélas répondre sans grands développements, gardons l'essence alors : la nature même de la musique.

Étant bien conscient qu’ici, pour une fois, j’offre à l’éventuel lecteur plus d’interrogations que d’expositions et d’explications claires de ma part, je l’encourage, si le cœur lui dicte, à tirer ce fil d’Ariane que nous propose l’Art de Musique et retrouver ma parole perdue en dehors du temps.

Anaël, puisque nous avons fait une émission en complice sur l’essence de la pensée chinoise, il me vient à l’esprit d’apposer ici une claire suite d’ondes de formes pour illustration : un sutra numineux énoncé par la rayonnante Wong Faye :

http://www.tudou.com/programs/view/A7hEUtKaQzI/

Sinon ce Grand Opéra qu'est la représentation de RhaXephon (le monde inondé de Sons):

http://www.dailymotion.com/video/x5so6_ ... ephon_news

Amicalement
Franck Ferrandis / Inari San
Pièces jointes
Monocorde-Complet_Fludd.gif
de l'Alchimie & de l'Art de Musique (Monade Du Grand Monocorde de ROBERT FLUDD qui résume ici toute sa cosmologie sychrétique. J'ai déjà toute une explication pour cette représentation, mais pour votre opératoire dans tout ce qui précède et suit seule une phrase compte.
Monocorde-Complet_Fludd.gif (58.86 Kio) Consulté 1766 fois
Fludd_Temple-de-la-musique.gif
OMNIA AD UNO, OMNIA AD UNUM

Ici je me souviens que le Verre est un liquide qui a oublié qu'il est un liquide, et, qu'au zéro absolu (cet arrêt de toute activité neutronique, il redevenait liquide. Peut-être là dans ces tables ci-girait un tel indice, illustré in "Le Secret du Sel" d'Elias Arista Hermetica, pour une provenance du Sel de Métal, et pourquoi pas comme interface avec le Mundus Imaginalis (frange conaturelle, non-où, où le corps se spriritualise et où l'esprit se corporalise), un gaz mystérieux (un krypton) christalisé. Mais peut-être vous-je égare à dessein.
Fludd_Temple-de-la-musique.gif (63.14 Kio) Consulté 1766 fois
Fludd_theorie-des-3-octaves.gif
LA DESCENTE ET REMONTÉE DE LÂME

L'idée des 3 "Octaves" est ici transposée dans un schème arithmétique, nous explique Joscelyn GodWin, suivant lequel sont respectivement attribués aux 3 mondes du Macrocosme, du Nombre, son carré et son cube. Dans la pyramide de gauche le processus de la création se développe, donc, de haut en bas, d'une manière analogue à l'engendrement d'une surface par une ligne, et d'un volume par une surface.

Et, de la même manière, l'âme s'élèverait dans la colonne de droite en acquérant toujours plus de spiritualité, jusqu'à atteindre la perfection.

Alors que la dernière planche subdivisait chaque région en sept partie, celle-ci pose neuf divisions. Afin d'obtenir dans chaque monde ces neuf subdivisions qui correspondent aux neuf ordres angéliques.

Robert Fludd a ajouté dans le monde éthéré, au-dessus des planètes, le primum mobile et le ciel des étoiles fixes, et, dans le monde élémentaire sinon élémentals, les règnes végétal et animal entre l'eau et la terre.
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SONS CRISTALINS & HARMONIE DES SPHÈRES

Messagepar Inari_San » Lun 11 Avr 2011 21:39

Bonjour à toutes & tous,
Bonjour Anaël,
Bonjour Olivier (je vais regarder avec une grande attention tes deux ouvrages),
Bonjour Cécile, Julien & Christian,
Bonjour Florian,

En écho à ton lien vidéo, que je place en conclusion, permets-moi en écho et résonance une petite intervention, qui sait, peut-être éclairante.
Ainsi toute connaissance est lumière que porte un rayon.


SONS CRISTALINS & HARMONIE DES SPHÈRES

La légende est connue : Pythagore discernera dans les tintements répétés sur le métal du Maître de Forge (travailleur majeur visant à la purification et transformation de la matière, autrefois sacré à l’instar du mineur descendant au cœur de l’embryologie minérale) une gamme harmonique d’une grande perfection (reliée donc au Nombre d’Or & divines proportions).

Seront donc définies 7 notes suite à cette expérience, ainsi qu‘une valeur chiffrée attachée à chacune d’entre elles (en Hz aujourd’hui) et qui fluctueront au fil des époques.

Ces valeurs numériques, en échos avec la Guématrie, l’arithmosophie, la numérologie, etc , offriront une riche symbolique permettant mille réflexions métaphysiques sur la Création :

Ainsi, l’étude de « La Vierge alchimique de Reims » nous révèle une édification picturale s’appuyant la gamme harmonique pythagoricienne et le concept de médiété harmonique, l'alphabet hébreu et l'arithmosophie conduisant à un autre niveau de recherche. Ici, les chiffres issus de la Gamme pythagoricienne descendante grecque Mi aigue (1008) à Mi grave (2016) donnant comme médiété les chiffres 1512 (La) ouvrent sur le nombre 756, tout autant riche de symboliques (notamment de l’Adepte en devenir) sont à l’œuvre... Appliquer ce cadre à certains manuscrits philosophiques pourraient s’avérer bien révélateur de cette tentative de rendre d’une compte et tonalité de la Totalité sinon du pouvoir d’un Verbe divin et créateur.


Suivront dans l’approche des sons quatre traités grecs d’importance : « Les éléments harmoniques » d’Aristoxène, « La division des canons » d’Euclide, « les Harmoniques » de Ptolémée et le « Manuel d’harmonique » de Nicomaque de Gérase.

Philosophe, métaphysicien, Pythagore recherchait en fait un lien entre arrangement des mondes et prégnance de l’UN (Origine et représentation du Tout), une Harmonie entre les différents niveaux de réalité rendant compte et s’accordant des causes finales et des lois des corps et des esprits.

Pour lui, une analogie devait donc exister entre intervalles musicaux et espacement des planètes.

De Philoloas de Crotone, ajoutant à la Terre (non centrale) et aux 7 planètes deux « astres » supplémentaires invisibles (le Feu central et l’Antichthone s’accordant à la conception de la perfection du 10, somme des quatre premiers nombres entiers : 1+2+3+4), l’ajout d’un mouvement propre à la Terre par Héraclite du Pont, inspirant Adraste d’Aphrodisium ou Tycho Brahé, jusqu’à Johannes Képler (chant des planètes de son Harmonices Mundi) ou le récent Émile Ruelle, c’est toute une série de conceptions attachant notes, mélodies, tons ou intervalles (de l’Hypate à la Nète) aux astres qui seront proposées.

Ainsi la Lune se vit attribuée la valeur Ré suivant une gamme descendante (Ré de Lune puis Mercure : do, Vénus : si, Terre : la, Mars : sol, Jupiter : fa, Saturne : mi), note qui fût donnée au Soleil (Naturalis concordia vocum numerum), Mars (Hypermèse), etc.

Ces théories donneront lieux à une conception que l’on nomme « Harmonie des Sphères », ou relation des astres en intrication avec ce vide-plein quantique que représente l’Éther des anciens.

Ici, poussant l’idée dans les limites de sa description, Robert Fludd dans sa métaphore du Grand Monocorde Divin ne fera que rendre compte de cette logique appliquée à toute la Création. Ainsi, pour certains modernes, quand un champ électrique atteindrait la valeur limite de 38,67.1015v/m, l’énergie se transformerait alors en matière, pour le reste elle serait diffuse à de très hautes fréquences (de 1016 à 1027 Ghz) et stationnaires .

Dès l’antiquité grecque cette conception cosmologique du Tout marquera de son empreinte guématrico-mathématique, (sino arithmosophique) la conception des instruments de musique. La lyre (dédiée par essence aux poètes et des prophètes) passera ainsi de 4 à 7 cordes, pour lesquelles Terpandre écrira rythmiquement abondamment, avant de se voir attribuée une 8e (pour le Zodiac), puis finir avec 9 (pour notre sol qu’est la Terre).

Le célestin, le Glassharmica, les ondes Martenot ou le Cristal Baschet sont par exemple des représentants modernes de cette recherche technique classique, constante en musicologie.

Ces instruments provoquent une grande gamme d’émotions, ce qui n’est pas sans rappeler ces champs (zone d’influence autour d’un point d’émission) et ces ondes (oscillations en fréquences sous forme de vecteurs porteur d’énergie) qui soignent ou qui blessent.

En effet, les ondes sous forme pulsées ou dans des systèmes rotatifs agissent sur le corps humain.

Si l’on incrimine souvent l’aspect négatif liée aux intensités des lignes à hautes tensions ou les fréquences de la téléphonie portable (sujets en résonance avec le thème des hyperfréquences, ELF, Haarp, etc), on oublie que les rayonnements millimétriques (de 1 à 20 mm) offrent des pistes de thérapies prometteuses (cicatrisation, consolidation osseuse, « normalisation » des systèmes sympathique et parasympathique qui par surcharge ou manque sont à l’origine de nombre de pathologies(1)).

Elles agissent sur les hautes fréquences que l’on pense empruntées par nos cellules pour échanger (avec des fréquences de co-résonance entre molécules vibrant de 0 à 11 khz), notamment par le mécanisme ionique (calcium) du corps avec pour interface de transmission l'eau… La gamme de 30 à 300 Ghz définiraient les plages liées au biorythme de chacun de nos organes.

Pour le reste, il semblerait qu’une partie des échanges dépasseraient le stricte cadre de la matière pour aborder une partie au-delà de la matérialité (principes du monde à « n « dimension & Tiers inclus Lupasco-Nicolescu, théorème de Bell, sémiophysique et morphogénèse de René Thom(2)). Ici les effets relativistes voudraient que l’on aborde la métaphore du Temps 3D (Gravitation = pression pléromique du flux d’énergie-information = densité du temps)

Quoiqu’il en soit, aujourd’hui c’est un lieux commun, la conception des instruments de laboratoire du Philosophe seraient en résonance avec cette métaphysique sinon leurs effets cosmogoniques (d’où l’importance de l’Astronomie-Astrologie-Cosmologie)... ... L’on pourrait y attribuer l’obtention d’huiles et de cristal & cristaux métalliques (ces derniers étant des réceptacles de choix pour la Lumière, l’énergie-information (tout comme l'eau dont l'état liquide est partagé pour les verres, forme cristalline de la matière à la fin de toute agitation, à l'aurée du Zéro absolu, noté 0 K (kelvin), ou 0 °R (échelle Rankine)).

La forme cristalline de gaz énigmatique et de métal incorruptible fait déjà parti de l’interface songée de computers de nouvelle génération (ordinateur post-quantique s’appuyant sur l’effet « bootstrap/Suns » par utilisation des phénomènes de Frange –ce non-où- infusant dans le vide quantique et l’incarnation de l’énergie-information-, programmé par phono-morphèmes archétypaux)…

Pour Conclure, puis-je laisser mon indulgent lecteur à la méditation sur les perspectives qu’offriraient les ondes de formes, les fonctions d’alignement dans la Lumière que nous projettent spéculativement (tel un miroir des Sages : Speculum) les transformées de René Thom ou les travaux d’Émile Pinel (paradigme de H1, H2 & H3) par exemple.

Cette étude serait à éclairer de la prépondérance du vivant à choisir une forme d’édification lévogyre, et, l’inerte sinon le poison dextrogyre (chemin de la lumière polarisée sur le corps comptabilisé en einsteins).

Et pourquoi pas revisiter en lecture, dans ce Topic consacré à notre émission, une vison possible, d’un orphelin errant, pauvre pèlerin borgne sur son chemin, des 3 formes du Lapiz qu’il faudra aller emprunter à cet au-delà de la matière...

Pour le reste Florian, ce n’est donc hélas pas aussi aisé que nous le présente la série TV « StarGate » d’extraire du Feu Secret des Sages à l’aide de « quasi-cristaux » comme j’ai pu te l’exposer en compagnie de Julien et Cécile (sans au moins de grandes formes pour la faire sourdre).

L’énergie quantique du Vide garde encore tout son mystère, ne serait-ce que par sa « Météo » (tu l’as constaté aussi m’as-tu dit dans tes « mesures ») laissant apparaitre à notre niveau des « vagues de fluctuations » de l’Unus Mundus pressant sur la Frange de l’incarnation de l’énergie (la frontière du monde de la matière-espace-temps). D’où l’idée de « thermomètres » du Vide (sinon de l’Œuvre) énoncées, dans mes posts anciens sur ce Topic, mesurant au-delà des flux d’Universons…

Ici je verrais bien l’opportunité d’évoquer le « Système de Contrôle » suggéré dans la nouvelle et le film éponyme «The Adjustment Bureau » (l’Agence), les shamanes ne disant pas qu’un homme et une femme s’aimant profondément mettant désordre dans l’Univers…



Le lien proposé par Florian :
http://www.dailymotion.com/video/xg3djg ... ion-1_tech

Amicalement
Franck Ferrandis / Inari Sama

PS : tu noteras dans la série RaXhephon le rôle tenu par les instrumentistes
http://www.rahxephon.fr/dossiers-glossaire.html

(1) pathologies des systèmes :
viewtopic.php?f=4&t=1697#p8062

(2) dans l’un de mes carnes philosophiques (extraits) en ligne page 18 du pdf :
http://edc.stardist.org/edc/php/rec_sho ... f_mp3=date

(3) nature de l’énergie : localement (en Kénome, monde matériel) comme un moment/mouvement cinétique d'informations, générant des formes dynamiques en mouvements entropiques, différents selon la pression informationnelle (cad créant un différentiel du substrat temps/espace pour notre vision globale). J'avais du évoquer la nature profonde de l'énergie comme paires corrélées, que peut-être faudrait-il symboliser par le terme « points » latents de Connaissance en conjonction, à la fois réseau et Source d'ordre transmultidimensionnelle...
viewtopic.php?f=45&t=875&start=40#p5849
Pièces jointes
L_isle-Verte_de-Verre_de-verite.jpg
J'aime ces emblèmes anciens riches de polyscénies sinon polyphonies : Soleil des Sages, Lune en Speculum, Oratorium & Laboratorium...

Ici, pour "répondre" à Julien, c'est au niveau du Repas de Peter Pan, en ce non-où exprimé, que situerais ce mouvement (cf RahXephon).
Le Labo(r) est ici et là, demeure l'effet relativiste de "l'écoulement" temporel pour attester de l'intrication si chère à David Bhom, Gilbert Durand ou Caslav Brukner (pour qui la matière ne peut tenir sans ces "forces" soujascentes) du Mysterion à la manière de Zosime de Panapolis.
Du Cloud Computing... ne serait-ce que du fait de baigner dans ""n" dimensions" & a-dimension (lois Lupasco-Nicolescu).
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MESSAGE ARRIVANT COMME UNE SUITE ATTENDUE

Messagepar Inari_San » Mer 13 Fév 2013 01:35

Faisant écho à cet échange ancien, je copie ici ce message de ce jour dédié à un autre espace pourtant si proche...
...

Re: Charles-Maxence Layet le 15 février 2013

Message par Inari_San » Mar 12 Fév 2013 09:09

Bonjour à toutes et tous,

Je me réjouis de cette invitation à l'émission qui m'est faite : j'aime passer sur les Ondes, elles sont porteuses et lumineuses, reprenant ainsi l'expression à cette occasion faite par Jean-Claude : "On va les rallumer les Étoiles du Cœur !!!!!!!", la Lumière est un état du Cœur....


SUR LES ONDES, LES AMIS DU SOLEIL

Voilà qui vient à propos : "La Lumière est la forme Universelle" nous affirme Jean d'Espagnet au sein de son Arcanum XXXII.

L'Onde qui est énergie, et qui par Nature même porteuse d'information, donnera encore sens dans sa dynamique de déploiement tétravalente.

Sans doute sera t-il encore ce chant élargi venant d'un espace en dehors de l'espace.

Ainsi Vivant Vecteur sourdrant de la Frange (entre Plérôme & Kénône) donnera t-il encore par sa Transformation/易 même signifiance sinon signification en l'incarnation matérielle, sous la pression de ce Feu Secret des Sages, Organisateur sinon Ordinateur de notre réalité (ce contenant tournoyant trouvant sa forme au fur & à mesure qu'il se "remplit" et se projette).

Les 8>8 cases de l'oncle René Thom ne sont pas loins.

...

Des exemples récents ? Convoquons l'histoire, l'Art & la Science.

Un Auteur Proche que j'aime beaucoup (il se reconnaitra car j'ai fait pour lui le 1er cette traduction archétypale) me donnera le prétexte versant de la linguistique, faisant de notre assemblée une Alésia mult-millénaires à prendre :

"AL" en terme de transformée de René Thom est défini comme "Minimum simple, sans catastrophe". C'est un Phonème archétypal de 1er Ordre...

Il se retrouve dans le présumérien "Hel", qui est toujours la divinité de la mort dans la mythologie scandinave. On le retrouve dans la racine norvégienne du verbe "Hylja", "Cacher".

Le sens profond de ce phonème est attaché à celui de la divinité, de principe éternel, d'UNité fondamentale à toute chose.

"AS" ou "EZ" est désignée en tant que Vecteur dynamique comme "Amorphe de copule".

Il me faut tout d'abord rappeler que S=Z= Ç.

Ce phonème se retrouve dans le présumérien signifiant "opérer, engendrer". Son sens est centré sur la notion d'opération, d'activité.

"SA" ou "ZA" (Anastrophe d'échelle, Synthèse) est centré sur le sens de "structure", "organisation".

ALesia est donc un lieu Sacré ; son holomouvement nous le montre, il donne Sens à la vie. Voilà pourquoi des Ondes soigneraient (Dis-moi un mot...

Le développement ? Imaginons des phrases par logique d'imbrications inverses confiées à la matière pensante alors ici & maintenant (今この場で) en boucles de rétroaction imaginale. Oh ! Quels chants cristallins ! (pardonnez-moi cette langue des oiseaux, mais c'est l'usage : "on peut parler de Tout, mais pas à tout le monde").

...

Enfin, l'Art & la Science par l'image, celle(s) que j'ai prise(s) de mon iPhone à l'Expérience de mon vieux complice Florian Di Maggio (car il faut rendre à César cette prise d'Alésia) :

L'infiniment grand (en métamorphes des structures des Superamas de galaxies "ViVrantes") :

http://img91.xooimage.com/files/d/2/a/m ... bd408f.jpg

à L'infiniment petit palpitant... :


http://img94.xooimage.com/files/7/5/7/m ... bd40ca.jpg

Déploiement amusant de l'Octave source n'est-il pas, mais il y a plus beau encore.

Bien à vous
Franck Ferrandis / Inari Sama


PS : lors de l'émission, pas d'inquiétude, je resterai discret, c-à-d à ma place Observant le Silence.

http://img92.xooimage.com/files/7/2/4/p ... bd4122.jpg
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