FUGE EN RÉ OU LA PAROLE PERDUE
Publié: Ven 08 Avr 2011 11:14
Bonjour à tous & à toutes,
Bonjour Anaël,
LA PAROLE PERDUE
Je me devais de revenir ici fort de la redécouverte d’emblèmes et représentions scannées le lendemain de ton post musical (heureusement moins de 515 jours).
Je dois avouer ici que j’ai totalement oublié la manière dont je voulais présenter cette suite de documents ayant attrait à cette Arpenteur des deux mondes, sinon Philosophe hermétique qu’était la figure de Robert Fludd célèbre auteur du «Temple de la Musique», du «Grand Monocorde» ou du Diapason de la totalité.
Il me semblait qu’à l’époque avoir trouvé une vive intelligence d’évoquer la Musique comme l’une des clavis hermetica (clé de compréhension) des icônes dans la perspective et la sensibilité des suites pythagoriciennes harmoniques (gammes musicales et définition des notes en résonance avec une Cosmogonie et des symboles numineux).
Ici, en dehors d’une arithmosophie, un cas d’école connu me vient à l’esprit : La Vierge alchimique de Reims où la valeur vibratoire des clés rappèle que les tableaux classiques doivent se comprendre aussi par une lecture donnant sur la perspective de la symbolique musicale pythagoricienne !...
Cette sensibilité est en écho avec des représentations de la physique moderne présentant microcosme et macrocosme sous forme de fonctions d’ondes, de fluctuations harmoniques du champ électro-magnétique. Dans cette perspective, l’art et la philosophie se veulent toujours représentations plus ou moins subtiles du monde & de cet ode en dehors de l’incarnation de l’énergie qu’est l’au-delà de la matière.
C’est ici que je devrais tenter une exposition de ces métaphores de la nature profonde de l’énergie-information dans les courants classiques de la pensée néo-pythagoricienne ou néo-platonicienne. Cette évocation ne devrait pas oublier de mentionner une correspondance avec les images archétypales des planètes (musique des sphères) dans la pratique de l’Alchimie. L’Atalante Fugiens est ici un exemple de choix par son alliance du fait musical et de reliance.
Je ne peux hélas répondre sans grands développements, gardons l'essence alors : la nature même de la musique.
Étant bien conscient qu’ici, pour une fois, j’offre à l’éventuel lecteur plus d’interrogations que d’expositions et d’explications claires de ma part, je l’encourage, si le cœur lui dicte, à tirer ce fil d’Ariane que nous propose l’Art de Musique et retrouver ma parole perdue en dehors du temps.
Anaël, puisque nous avons fait une émission en complice sur l’essence de la pensée chinoise, il me vient à l’esprit d’apposer ici une claire suite d’ondes de formes pour illustration : un sutra numineux énoncé par la rayonnante Wong Faye :
http://www.tudou.com/programs/view/A7hEUtKaQzI/
Sinon ce Grand Opéra qu'est la représentation de RhaXephon (le monde inondé de Sons):
http://www.dailymotion.com/video/x5so6_ ... ephon_news
Amicalement
Franck Ferrandis / Inari San
Bonjour Anaël,
LA PAROLE PERDUE
Je me devais de revenir ici fort de la redécouverte d’emblèmes et représentions scannées le lendemain de ton post musical (heureusement moins de 515 jours).
Je dois avouer ici que j’ai totalement oublié la manière dont je voulais présenter cette suite de documents ayant attrait à cette Arpenteur des deux mondes, sinon Philosophe hermétique qu’était la figure de Robert Fludd célèbre auteur du «Temple de la Musique», du «Grand Monocorde» ou du Diapason de la totalité.
Il me semblait qu’à l’époque avoir trouvé une vive intelligence d’évoquer la Musique comme l’une des clavis hermetica (clé de compréhension) des icônes dans la perspective et la sensibilité des suites pythagoriciennes harmoniques (gammes musicales et définition des notes en résonance avec une Cosmogonie et des symboles numineux).
Ici, en dehors d’une arithmosophie, un cas d’école connu me vient à l’esprit : La Vierge alchimique de Reims où la valeur vibratoire des clés rappèle que les tableaux classiques doivent se comprendre aussi par une lecture donnant sur la perspective de la symbolique musicale pythagoricienne !...
Cette sensibilité est en écho avec des représentations de la physique moderne présentant microcosme et macrocosme sous forme de fonctions d’ondes, de fluctuations harmoniques du champ électro-magnétique. Dans cette perspective, l’art et la philosophie se veulent toujours représentations plus ou moins subtiles du monde & de cet ode en dehors de l’incarnation de l’énergie qu’est l’au-delà de la matière.
C’est ici que je devrais tenter une exposition de ces métaphores de la nature profonde de l’énergie-information dans les courants classiques de la pensée néo-pythagoricienne ou néo-platonicienne. Cette évocation ne devrait pas oublier de mentionner une correspondance avec les images archétypales des planètes (musique des sphères) dans la pratique de l’Alchimie. L’Atalante Fugiens est ici un exemple de choix par son alliance du fait musical et de reliance.
Je ne peux hélas répondre sans grands développements, gardons l'essence alors : la nature même de la musique.
Étant bien conscient qu’ici, pour une fois, j’offre à l’éventuel lecteur plus d’interrogations que d’expositions et d’explications claires de ma part, je l’encourage, si le cœur lui dicte, à tirer ce fil d’Ariane que nous propose l’Art de Musique et retrouver ma parole perdue en dehors du temps.
Anaël, puisque nous avons fait une émission en complice sur l’essence de la pensée chinoise, il me vient à l’esprit d’apposer ici une claire suite d’ondes de formes pour illustration : un sutra numineux énoncé par la rayonnante Wong Faye :
http://www.tudou.com/programs/view/A7hEUtKaQzI/
Sinon ce Grand Opéra qu'est la représentation de RhaXephon (le monde inondé de Sons):
http://www.dailymotion.com/video/x5so6_ ... ephon_news
Amicalement
Franck Ferrandis / Inari San