Conférence et médiumnité 10 janvier 2009

[Jean-Claude Carton]

Samedi 10 janvier 2009 15h: Grégoire Séverine et moi avons assistés à la conférence du Père François Brune à la salle Psyché; la salle était comble et le Père Brune "himself" tout surpris de voir autant de monde; il le dit d'ailleurs avant de commencer sa conférence concernant Mère Teresa.


Mère Teresa, née Agnès Gonxha Bojaxhiu (26 août 1910 à Skopje Macédoine - 5 septembre 1997 à Calcutta Inde) est une religieuse catholique albano-indienne surtout connue pour son action personnelle caritative et la fondation d'une congrégation de religieuses, les Missionnaires de la Charité qui l'accompagnèrent et suivirent son exemple. Cela commença avec l'ouverture du 'mouroir' de Kalighat (Nirmal Hriday) de Calcutta.
Durant plus de 40 ans, elle consacra sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants d'abord en Inde tout en guidant le développement des Missionnaires de la Charité puis à travers son œuvre dans d'autres pays. Perçue comme un modèle de bonté et d'altruisme, son nom a été régulièrement évoqué dans la presse indienne et occidentale pendant la deuxième moitié du XXe siècle.
L'œuvre des Missionnaires de la Charité continue à s'étendre rapidement et au moment de la mort de Mère Teresa représentait déjà 610 missions dans 123 pays incluant des hospices et des maisons d'accueil pour les hommes et les femmes atteints de la lèpre, du sida, de la tuberculose, des soupes populaires, des centres d'aide familiales, des orphelinats et des écoles.
Le 19 octobre 2003, Mère Teresa a été béatifiée par le Pape Jean-Paul II à Rome.

Eblouissant Père Brune; pas de traces des 7h d'antenne de la nuit du 8 au 9 janvier sur idFM; juste quelques "éraillures" dans la voix. Nous avons été enthousiasmés par sa démonstration du mysticisme. Vous pourrez entendre cette conférence enregistrée par Grégoire.

Remarque personnelle: Mère Teresa a douté toute sa vie de la foi dont elle était porteuse; elle l'avait écrit dans ses lettres; elle écrit en 1962 : « Si un jour, je deviens une sainte – je serai sûrement celle des « ténèbres », je serai continuellement absente du paradis pour éclairer la lumière de ceux qui sont dans l’obscurité sur la terre. » Et aussi " Où est ma foi ? Tout au fond de moi, où il n'y a rien d'autre que le vide et l'obscurité... Je n'ai pas la foi."
http://www.rue89.com/2007/08/30/mere-te ... urs-la-foi

16h 30: arrivée de Henry Vignaud; pendant 60 mns, Henry démontre encore une fois la précision de ses contacts; comment douter qu'il est en canalisation ?
Henry Vignaud ne se sert d'aucun support; il ressent les présences avec une telle précision qu'il interpelle les personnes aux places où elles sont assises dans la salle.
Cette séance a été également enregistrée; je précise qu' habituellement, les conférences terminées, je quitte la salle.

Une photo souvenir a été "immortalisée" par Grégoire.

J'ai été agréablement surpris par les propos d'auditeurs et auditrices venus spontanément me remercier de mon travail; réconfortants contacts; je ne veux pas oublier la présence d'une détractrice (l'amour vache existe ) que je connais depuis des années. Ce qui ne l'empêche pas d'écouter depuis 1992...

J'aime bien aller à la rencontre de celles et ceux qui me font la grâce d'écouter les différentes émissions du mardi et du jeudi.

Grégoire s'est occupé de la mise en ligne.

Jean-Claude

[tofffsy]

Cette conférence était passionnante; j'avoue que cette notion de l'importance de la souffrance dans le cheminement m'a toujours plus ou moins "dérangée"...
Mais force est de constater que quand on en bave allègrement, ben "la soif enseigne l'eau comme on dit"...
Je n'ose même pas imaginer ce qu'ont pu ressentir les grands mystiques et les Saints... pfff... Que leurs âmes soient en paix.

Les passages qui m'ont vraiment marquée :

- quand nous désirons Dieu, c'est Dieu qui en nous se désire
- une partie de nos épreuves participe à l'élévation d'autres personnes :
la fameuse communion de conscience à conscience, au delà du temps et de l'espace...
- et que Mère Térésa voulait aimer Dieu pour ce qu'il prend...

On se sent encore plus petit après ça...

A part ça, en effet, le Père Brune était frais omme une rose malgré la nuit du jeudi ! (plus que moi : la honte )
Et Henry Vignaud : fidèle à lui-même On dirait qu'il reprend du poil de la bête en plus : bonne mine lui aussi !
Il manquait juste notre 4°mousquetaire : Sherazade... (qui courageusement bossait... On pense à toiiiiiiiii !!!!)

[Jean-Claude Carton]

Avant d'oublier...
Pendant la conférence de François Brune, une pensée est venue à mon cerveau.
Je vous la livre telle qu'elle me lancine la tête depuis hier



" Ma mémoire pouvant devenir défaillante puisque je vais vieillir, je vais prendre quelques précautions d'usage.
Les souffrances physiques et la mort ne m'ont jamais fait peur...Mes seules craintes sont de perdre la mémoire et de partir en oubliant de pardonner celles et ceux qui m'ont fait de la peine autant que de me pardonner pour la peine que j'ai pu causer aux autres.
Aussi, à partir de ce jour et dorénavant, je pardonne tout le monde immédiatement, mais je n'oublie pas !"




Jean-Claude

[tofffsy]

Les bonnes résolutions 2009 ?!

je crois qu'on oublie plus facilement ce qui nous a fait du mal que le mal qu'on a fait;
quand c'est oublié, c'est que c'est pardonné,
c'est quand on rumine malgré le temps qu'il y a un truc a faire...

Et puis aussi, ce ne sont pas les gens qui nous font du mal,
ce sont leurs actes : non ?! On a des problématiques miroir, c'est normal finalement :
chacun a besoin de l'autre pour évoluer...
En sachant aussi, que la plus grande "punition" quand on commet un acte qui fait du mal
sera la prise de conscience foudroyante en passant de l'autre côté...
Le jugement personnel et le remord sont les retours du bâton les plus durs...
(ça aide à pardonner ça d'ailleurs, de se rendre compte que l'autre serait mortifié
s'il savait à quel point on a pu souffrir... On en aurait presque mal pour lui)
Comme dans Chant de Noël de Dickens... Marley qui hante et ne trouve le repos...
On est là pour apprendre à aimer comme dit le Père Brune;
on a tous du boulot sur la planche bendiou !!!!!!

PS : t'as de la marge avant Alzheimer quand même !!!!!

[Jean-Claude Carton]

Suite à l'émission et à la conférence du Père François Brune, j'ai reçu ces messages sur mon adresse mail; je vous les fait partager.
Jean-Claude



Je me dis que « ne pas trouver » c'est découvrir que tous les possibles se trouvent en nous même.C'est alors qu'il faut devenir créateur… Alors Dieu n'est pas loin…
Odile

Il me semble difficile de parler au hommes (mâles et femelles), de leurs pensées, de leurs sentiments, de leurs peurs, de leurs émois, de leur devenir, sans avoir à citer "Dieu", dans la mesure où depuis qu'ils se sont dressés sur leurs pattes arrières, ils ont eu besoin de révérer, de craindre ou d'aimer un ou des dieux, quel que soit le nom qu'ils lui ont attribué.
Dieu, je pense, est ce qui nous fait avancer, ce sans quoi on "meurt lentement". C'est l'amour, c'est la vie, les atomes dont nous sommes composés, la relation que nous avons les uns aux autres...
Je me souviens qu'une des questions du "catéchisme " était : "où est Dieu?" et la réponse était : "Dieu est au ciel, sur la terre, partout !"
On peut (peut-être doit-on) se défier des religions ; il est difficile de ne pas croire en Dieu.
Pomme

Oui, scruter peut être parfois disséquer, chercher.... fuir Dieu... celui qui est en haut et nous en bas ! Mais tout dépend de qui scrute, qui cherche, qui parle...
On ne peut pas toujours expliquer, se justifier...
Car Dieu laisse même les démons jouer avec la lumière.
Cristina

« Ne pas trouver », ne pas savoir (s'avoir).
Qui veut trouver ? Qui croit savoir ? Je, toujours. Et dans le « je » qui veut trouver, quel isolement, quelle séparation !
On peut croire savoir et ne jamais connaître. Peut-on co-naître sans être en amoureuse relation avec ce qui est connu ? Et, d'une certaine façon, en arrêtant de s'agiter : en se laissant chercher et désirer, en se laissant trouver ?
Noëlle

[Nemausus]

Cette conférence était passionnante; j'avoue que cette notion de l'importance de la souffrance dans le cheminement m'a toujours plus ou moins "dérangée"...
Mais force est de constater que quand on en bave allègrement, ben "la soif enseigne l'eau comme on dit"...
Je n'ose même pas imaginer ce qu'ont pu ressentir les grands mystiques et les Saints... pfff... Que leurs âmes soient en paix.

Pour ma part, personnellement, (mais que l'on y voit surtout pas un manque de respect envers le Père Brune ) j'ai énormément de mal avec cette apologie de la souffrance.
Peut-être ai-je tort, ou n'ai-je rien compris à la vie, cependant je vais développer ma pensée :

Pour moi je pense que la souffrance n'est non seulement pas obligatoire pour grandir, mais je rajouterai qu'elle est en surplus le résultat d'actions contre-nature.
Admettre les bienfaits de la souffrance serait comme dire que les guerres sont bénéfiques, et aident les êtres à évoluer.
Alors qu'à mon avis une guerre, c'est un peu comme un abcès qui éclate. Il a fallut avant cela beaucoup de chose pour qu'il se forme, pourtant une attention, une hygiène aurait pu avant tout empêcher sa venue.

La souffrance c'est pareil. Une attention de ses pensées, de ses actes, de ses réactions pourraient éviter beaucoup de souffrances.
C'est un peu comme un petit enfant à qui nous laisserions tout faire, toucher à tout, sans le protéger, au risque qu'il se brûle ou se blesse gravement, en disant :
«  C'est bien comme ça il va comprendre et grandir »
Non, en tant que parents aimants nous faisons tout pour l'éduquer et tenter d'éviter cela !

Mais que faire pour nous éduquer nous ?
Bien sur ce devrait être nos religieux, nos maitres, qui en temps qu'éducateurs spirituels devraient être là pour nous guider sur cette voie. Je reste de plus en plus persuadé qu'une meilleure connaissance, qu'une meilleure éducation pourrait éviter bien des souffrances en ce monde et que le monde ne s'en porterait que mieux.
Malheureusement nous savons tous que c'est hors des sentiers traditionnels que nous devons chercher la vérité...
Mais en cherchant on trouve et la spiritualité est le parent aimant, ici pour nous protéger de la souffrance.

Pour ce qui est des mystiques et de leurs stigmates et souffrances, même si le but, vouloir souffrir pour l'humanité est très beau, et montre une dévotion incroyable à leur foi, une grande force d'âme aussi...
Il n'en reste pas moins qu'une prière dispensée dans la joie et l'énergie d'un immense amour, pour moi, aurait le même pouvoir, sinon plus....
Mais une fois de plus je rejoint les travaux et recherches de Gérald Méssadié à ce sujet, le pouvoir de la pensée créatrice et l'envie de souffrir, un certain masochisme...
Aujourd'hui on ne peut nier ce pouvoir, nous savons tous que la loi d'attraction est réelle

« Il vous est donné selon votre foi... »
A dit lui même Jésus...


Pour en revenir à tout ce que je trouve contre-nature, il a aussi l'acharnement thérapeutique qui empêches des êtres en fin de vie de partir.
Comme le dit si bien le Dr Charbonier, l'acharnement affectif aussi...qui fait culpabiliser et rester plus longtemps dans la souffrance certains malades...

Le manque d'éducation sur le monde d'après, c'est fou en ce monde, on nous fait prendre des assurances vieillesse, construire des maisons pour le jour de la retraite jusqu'où nous ne sommes même pas sûr d'aller....Mais rien, aucune prévention, aucune instruction pour le monde où nous allons passer le plus de temps !
Si plus de monde savait, était informé sur le monde d'après, les départs seraient beaucoup plus facile car lorsque l'on aime vraiment quelqu'un, sommes nous désespérés s'il décide un jour de partir pour un pays lointain et magnifique où il sera heureux ? ( je parle d'amour vrai bien sur pas de possession...d'égoïsme...)

Contre nature aussi l'égoïsme du monde ou certains meurent d'obésité quand d'autres meurent de faim. Le petit enfant se qui meurt faute du minimum de soin et de nourriture, en quoi cela le fait-il grandir ???

Contre nature, la haine, la violence, le désir de pouvoir et de toujours plus de territoires qui fait les guerres, menées par les politiques et divers religieux mais où ce sont toujours les innocents qui souffrent sous les bombes...
Des innocents dont on montrent les photos ensanglantées et qui servent de martyrs et d'otages à leur propres dirigeants. Eh oui la propagande à besoin de victimes, surtout très jeunes....

Oui, pour moi la souffrance n'est que le résultat de notre décadence, pas de quoi s'en glorifier.

[Jean-Claude Carton]

Tivrou a écrit:
J'ai énormément de mal avec cette apologie de la souffrance.
Peut-être ai-je tort ou n'ai-je rien compris à la vie, cependant je vais développer ma pensée ....

Tivrou
Je pense sincèrement que ce forum te fera un bien immense si tu tournes 7 fois ton clavier avant de lui taper dessus; personne n'a fait l'apologie de la souffrance ici; je ne le permettrai jamais. Tu as le chic pour écrire sur ce qui te blesse et pas assez sur ce qui t'élève..
Relis bien les différents posts.

Malheureusement nous savons tous que c'est hors des sentiers traditionnels que nous devons chercher la vérité...
Mais en cherchant on trouve et la spiritualité est le parent aimant, ici pour nous protéger de la souffrance.

HEUREUSEMENT ce forum existe et il n'est pas le seul !!!
Il n'y a que toi qui te protégera; n'attend rien des autres.

Souviens toi la réponse du Père Brune quand je lui pose la question:
" Et toi, que demandes-tu à Dieu ?
- Rien; je ne lui demande rien; il sait, alors à quoi bon lui demander ?"


http://etoilesducoeur.fr/jcc/idfm/emiss ... erveur=car




Jean-Claude

[tofffsy]

Tu sais Tivrou, il n'est pas question de faire l'apologie de la souffrance;
quand je parlais de la souffrance des mystiques, il y a aussi la souffrance morale, comme celle de Mère Térésa justement qui avait perdu la Foi et a lutté contre cela à la fin de sa vie; c'est une immense souffrance morale à porter quand on sait comme ces personnes sont proches à tous les niveaux de Dieu... Ils sont quasi à la fin de leur évolution.

Et pour en revenir à nos petits niveaux; la souffrance n'est pas obligatoire pour grandir, ok, mais souvent, on s'en passerait mais elle se pointe quand même !!!!
Dans un chemin de Vie, il y a un paquet de souffrances qu'on ne peut pas éviter parce qu'elles sont comme programmées;
c'est cyclique, comme les saisons, comme la Nature; vie et mort puis vie de nouveau...
celles liées à l'éducation par exemple, à l'impact du milieu dans lequel on évolue (positif ou négatif), à comment tu es considéré et l'influence inconsciente que ça peut avoir sur toi et ta vie étant adulte, sachant que ça peut aller jusqu'aux maladies grâves pour accepter de regarder en face qu'un truc cloche et enfin t'en débarrasser...
Et puis aussi, tu as dû le remarquer; on porte souvent en nous les complexes et les souffrances non exprimées des aïeux, on ne parlait pas de ses états d'âmes il y a quelques générations, alors entre les guerres qui marquent au fer rouges les familles, les enfants et conjoints qui disparaissent dans la fleur de l'âge, les enfants non attendus, non reconnus et j'en passe; on ne peut malheureusement pas éviter ces souffrances, elles nous imprègnent malgré nous étant enfants; c'est la fameuse communion des âmes...
Sans parler des trahisons, des arnaques, des manipulations affectives, du harcèlement moral au boulot, le chômage, les galères d'argent avec la confiance en soi qui en prend un coup et les soucis de nos proches, qui forcément, nous touchent...
Mais fort heureusement, tout ça nous aide à grandir, à changer notre vision des choses, à nous rapprocher de l'essentiel et souvent, j'ai remarqué, ça sert toujours aux autres quand on les dépasse; parce qu'ils voient que ce n'est pas impossible de le faire; et si on peut les aider, ben, c'est comme si on se donnait à nous-mêmes l'aide qu'on n'a pas trouvé dans la même situation, ça guérit. Et puis on en retire une certaine force, et, étrangement, on finit par lâcher prise, enfin, et acceder malgré soi à une certaine paix (on a toujours des moments de blues parfois). ça permet aussi d'apprécier la moindre bonne petite chose à sa véritable valeur ! (on fait des économies de chocolat quoi; plus le besoin frénétique du carré qui soulage !!!)
C'est de ce genre de souffrances dont il est question; pas question de se flageller avec des orties; on n'est pas maso hein !!!! Je ne veux pas croire qu'on souffre pour rien.

C'est comme un pschit pour les vitres; ça décrasse et on y voit clair après !
C'est pas très poétique, mais ça veut bien dire ce que ça veut dire.
Et puis je préfère pour ma part me dire ça plutôt que de me plaindre tout le temps comme avant genre Caliméro : "c'est trop injuste"

Allez, hauts les coeurs ! La roue tourne aussi, on ne se prend pas des skuds toute sa vie, heureusement !!!!
Et pui c'est souvent dans ces moments que Dieu justement finit par se désirer en nous et vient nous repécher, grands couillons que nous sommes, in extremis... Et là, ben, on se sent un peu bête en fait mais on est plutôt super content... !
Bref, il n'est pas question de se protéger de la souffrance, mais plus de la voir d'un autre oeil si elle se pointe, du genre, quel cadeau se cache derrière, qu'est-ce que je désire en faire, pour moi. Souffrir pour souffir : NIET !
Et comme disait Pascal "Tout homme qui s'élève élève le monde"; si en grandissant par ce biais ça peut servir aux autres, même si c'est une rikiki goutte d'eau, why not ?!

Brassées de bisous à toi petite scorpionne rebelle; rassure-toi, peu de gens aiment souffrir et recherchent ça !!!!

Il n'est pas anodin ce dessin JC

[tofffsy]

Je pensais à un truc...
Et si c'était encore plus simple que ça :
comment toucher du doigt la substantifique moelle du Pardon (Pardon = non jugement = Amour inconditionnel = substantifique moelle du Divin = la seule chose à apprendre sur terre) si on n'a pas ressenti de la souffrance ?
En général le Pardon s'impose pour soulager tout le monde quand il y a persistance d'une souffrance, non ?!
C'est peut-être la clef finalement... Dans ce sens, on peut parler en effet de l'importance de la souffrance...

[Nemausus]

J'ai enfin compris à quoi pouvait bien servir la souffrance.
La souffrance délivre de toutes les peurs.
Aujourd'hui plus rien ne me fait peur.
Mais Dieu quelle difficile prise de conscience...
Tout ici bas est éphémère...
Transcender la douleur en lumière